Marche du FCC : l’ECT Balamage Nkolo invite les congolais à la cohésion nationale

Le Front Commun pour le Congo a déjoué tous les pronostics de la majorité mécanique en ce jeudi 23 juillet 2020. Dans une marche de soutien aux institutions de la République, l’Eveil pour la Conscience et le Travail, sous la direction de l’honorable Boniface Balamage Nkolo a mobilisé massivement ses cadres et militants dans un élan de solidarité et de bien séance. Aux couleurs vertes et jaunes, l’Eveil des Consciences et le Travail a su asseoir sa légitimité populaire aux côtés de leurs élus nationaux, provinciaux et sénateurs qui se sont donnés rendez-vous sur le croisement des boulevards Sendwe et Patrice Emery Lumumba en vue d’apporter leur soutien aux institutions de la République, mais aussi à la cohésion nationale en cette période de l’agitation politique par les officines étrangères qui secouent l’Est de la RDC.
« Nul n’a le monopole de la rue. Aucun mort, aucun blessé, un acte de vandalisme, pas de provocation, aucun incident malheureux. Joseph Kabila n’a pas la majorité mécanique », lâche un cadre du parti et député national.

Et pourquoi marcher alors ? « L’ECT marche avec ses militants, avec la population kinoise pour soutenir la stabilité des institutions ; le respect par toute personne des lois de la République et la Constitution. L’ECT marche avec le Front Commun pour le Congo pour souligner sa loyauté à son autorité morale, le Raïs Joseph Kabila Kabange ; l’ECT marche avec le Front Commun pour le Congo pour inviter les institutions de la République à s’occuper du social de la population ainsi que la sécurité spécialement à l’Est du pays », nous a confié l’honorable Boniface Balamage Nkolo, deuxième vice-président du bureau de l’Assemblée nationale.

Pius Romain Rolland

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Une réponse

  1. La stabilisation de l’Est de la RDC, le ventre mou de la République est conditionnée par l’éradication de toutes les forces négatives qui sont prêtes à participer à la construction du pays. Les deux institutions(CIAP-DDRC et STAREC) doivent travailler conjointement les uns en aval et les autres en amont pour corriger les erreurs du passé enregistré par DDR1, DDR2 et DDR3.
    Marc Baharanyi
    Coordination interprovinciale de la commission interprovinciale de l’appui au processus de DDRC

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