48 heures après, comme annoncé par la cour de cassation, avant une prononciation sur la demande de mise en liberté provisoire du directeur de cabinet du chef de l’état, Félix Tshisekedi, la cour a, pour la énième fois prononcé un refus.
Cette demande légale de liberté provisoire a été formulé par ses avocats, par la suite de la dégradation de la santé de Vital kamereh et dans le but de lui offrir une prise en charge médicale appropriée.
Bien que toujours pas prêt à accepter les décisions rendues aux précédents tenants, le président national de l’UNC doit attendre son audience en appel de ce vendredi 7 août en prison.
Robert Bolongo