Violence contre les journalistes

Violence contre les journalistes, Willy Musampayi promet la mort au journaliste Pius Romain Rolland

Les derniers événements ont été tumultueux contre les institutions de la République. La plus visées est le Parlement, plus précisément l’Assemblée nationale et les élus nationaux. L’on se rappelle déjà de l’opération  » Boma député tika policier « , laquelle opération orchestrée par les militants d’un parti politique sulfureux contre la majorité parlementaire du Front Commun pour le Congo.Plusieurs députés nationaux ont été victimes de ces actes de barbarie de ces combattants immunisés. Outre les élus nationaux, figurent les journalistes. Jean Marie Kassamba; Jean Marie Baswa et Claude Molisho ont été visités de manière cruelle. Tous ont échappé à la mort. Cependant, dans ce lot des journalistes visés par les militants et sympathisants des quelques partis politiques, figurent Christian Lusakweno, Edmond Izuba, John Lungila et enfin Pius Romain Rolland candidat à la mort.Ce dernier reçoit des menaces de tout genre des personnes identifiées, à savoir Marcel Luabeyi et Willy Musampayi. Leurs messages de menace en font foi, ci-illustrés. De ce qui précède, les Organisations des Droits de l’homme qui se sont illustrées dans la dénonciation de faits contre le régime Kabila, sont aujourd’hui les défenseurs des bourreaux, surtout journalistes, au motif, l’état de droit, comme si les journalistes n’ont plus de droits ni libertés d’opinion. C’est le lieu de dénoncer toutes ces menaces contre ces journalistes en ce que le confrère John Lungila est victime depuis dimanche 05 juillet. Sitôt menacé, un message est lancé contre Pius Romain Rolland. Ce journaliste analyste politique, un cerveau de la presse est abandonné dans la gueule des loups. Sinon, le bureau des nations unies en charge des Droits de l’homme est saisi de ce cas à répétition contre la vie de ce journaliste. Ses bourreaux Marcel Luabeyi et Willy Musampayi qui serait proches de l’ancien premier vice-président déchu de l’Assemblée nationale ne jurent que par l’enterrer. A la police nationale Congolaise d’ouvrir une enquête en vue d’identifier ces criminels en série à travers la lutte contre la cybercriminalité. Robert Bolongo

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