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Télécommunications : La FEC annonce la hausse dans les tous prochains jours des services SMS, appel et internet

La fédération des Entreprises du Congo FEC en sigle a annoncé dans un communiqué publié ce 1 juin l’augmentation prochaine des tarifs des services de télécommunications sur l’ensemble de la RDC. Cette augmentation instauré par le gouvernement congolais sur les SMS, appel et internet pourra servir selon ce patronat congolais à rémunérer les prestataires de l’ARPTC ( Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications du Congo). Malgré eux, les opérateurs de télécommunications seront donc obligés d’augmenter les tarifs de différents services sur lesquels le gouvernement a décidé d’appliquer ces nouvelles charges. Pour la FEC cette augmentation impacterait négativement et pourra alourdir la charge des ménages dans un contexte socio-économique déjà difficile. Ci-dessous l’intégralité de ce communiqué 👇 Gladys EBILE BOMBO

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Gouvernement-FEC-Petroliers : Le prix du pétrole fixé.

Fini la grève des pétroliers. C’est ce qu’a annoncé Albert Yuma, Président de la Fédération des Entreprises du Congo FEC en sigle, à la sortie de l’audience que le Premier Ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba a accordée à la délégation des opérateurs pétroliers de la zone Sud-est. Conduite par Albert Yuma Mulimbi, la délégation composée des Présidents fédéraux de la Fédération des Entreprises du Congo du Haut Katanga, Lualaba et Nord Kivu, ainsi que de plusieurs membres de ce patronat des Entreprises, a salué le leadership du Premier Ministre, Chef du Gouvernement à obtenir les concessions et compromis de part et d’autre en vue de préserver les intérêts aussi bien de la population congolaise, tout comme des opérateurs économiques pétroliers. Dans une déclaration faite, le Patron des patrons des entreprises du Congo a indiqué que les éléments de la structure des prix des produits pétroliers ont été revisités pour rétablir l’équilibre entre zones Ouest- Sud- et Est. Il l’a dit en ces termes :  » Je peux dire de très très bonnes conclusions consensuelles. Hier, le Premier Ministre nous avait reçu, il nous avait donné beaucoup d’assurance et des orientations aux membres du gouvernement qui sont présent pour qu’on aille dans une négociation sans arriére pensée et avec esprit d’ouverture« , a-t-il dit. Il a poursuivi pour dire que les réunions qui se sont poursuivies les après midi l’ont été dans ce sens là. Toutefois, il a précisé que la réunion du Comité Spécial de Suivi des Prix Pétroliers s’est tenue dans une ambiance de concession mutuelle ; de compréhension à l’issue d’une longue réunion qui s’est terminée tard 20h. A l’issue de ladite réunion, ils sont parvenus à une conclusion laquelle, il faut toucher a des éléments de structure qui rétablissaient l’équilibre entre les zones Est; Sud-est pour que désormais, ils peuvent se remettre au travail sans perdre l’argent en livrant leurs produits, a déclaré Albert Yuma.Ceci justifie cela, que les concessions ont été faites de part et d’autre en tenant compte de la volonté du Gouvernement de s’occuper de la population et à ne pas perturber par un élément majeur qu’est le carburant, la vie économique et sociale.  » C’est dans ce cadre là qu’on a abouti sur les points essentiels, les éléments prépondérants de la structure des prix : qu’il s’agisse des prix moyens, frontières, commercial, du taux de change ou des volumes consommés, nous nous sommes mis d’accord. Ce qui a entraîné grâce à l’accord, la concession que les pétroliers ont fait sur le taux de change, aboutir à un prix de la structure qui sera annoncé tout à l’heure. Ce qui est une avancée importante, avait dit Albert Yuma, tout en invitant le Gouvernement a accéléré la publication du nouveau prix dans la structure. C’est à l’occasion, Albert Yuma a magnifié la compréhension du gouvernement guidée par les orientations du Premier Ministre et avoir accepté pour les problèmes conjoncturels d’attendre la prochaine réunion pour en débattre. » Pour le moment, a-t-il reconnu, que les prix de la nouvelle structure ont été communiqués et j’annonce aujourd’hui, que la grève est terminée et que l’activité économique va reprendre normalement le plutôt possible, dans le sud-est parce que nous opérateurs économiques ont trouvé une oreille favorable auprès du gouvernement, a-t-il souligné. Il faut souligner que la crise des pétroliers a été déclenchée par un échec relatif de précédentes négociations sur la révision des structures des prix dans les zones concernées. Il est essentiel de rappeler que les récentes négociations ont été sollicitées par le Premier Ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba en vue de trouver solution quant à ce. A en croire Albert Yuma, les délégations ont cru comprendre qu’elles ne repartiront pas au Katanga et au Nord Kivu, sans la bonne solution de rétablir la justice et l’équité, a-t-il déclaré. Pius Romain Rolland

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Devant la FEC : L’IGF note près de 1.326 exonérations, d’une valeur de 5 milliards de dollars Us par an

M. Jules Alingete, Inspecteur général des finances, chef de service, a été invité à une matinée d’échanges avec les hommes d’affaires au siège de la Fédération des entreprises du Congo (FEC), ce mercredi 05 août 2020. Lors de son mot de circonstance, le Secrétaire général de la FEC a félicité la nomination de Jules Alingete qu’il a qualifiée de couronnement des efforts bien mérités. Il a aussi demandé à l’IGF d’éclairer les hommes d’affaires sur la contre-vérification, le contrôle actuel des exonérations et les compensations.Pour sa part, l’IGF Alingete a rassuré les opérateurs économiques de sa détermination à œuvrer pour rétablir la confiance entre les deux parties. Il a exprimé sa volonté de ne pas faire de la contre vérification une tâche principale de l’IGF. L’inspecteur général Jules a promis de désengager l’IGF de la contre vérification généralisée et systématique pour se déployer massivement vers le contrôle de l’exécution du budget de l’Etat, des entreprises du portefeuille de l’Etat, des services publics, des établissements publics, des provinces sans oublier un encadrement efficace des régies financières. Il a estimé que l’IGF pourra, dans les cas extrêmes où les intérêts du trésor public sont en mal, intervenir en contre-vérification, mais dans le respect des lois et règlements de la République et en veillant à préserver l’harmonie avec le monde des affaires.L’IGF a fait état de la situation de près de 1.326 exonérations qui causent actuellement un manque à gagner au trésor public estimé à près de 5 milliards de dollars Us par an, et de l’existence des cas fantaisistes qui doivent faire l’objet d’annulation. Pour ce qui concerne la compensation, l’IGF estime que ce mode de paiement est interdit par les lois de la République et, est source de beaucoup d’abus.Et de souligner que les autorités gouvernementales ont été abusées dans leur bonne foi par certains compatriotes bénéficiaires de ce mode de paiement. Déjà à l’arrivée de l’actuel gouvernement, un stock de plus de 600 millions de compensation existait. Les deux parties se sont félicitées de ces échanges et ont souhaité les maintenir pour éviter des incompréhensions inutiles. Robert Bolongo

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