Depuis plusieurs années, la Conférence Épiscopale Nationale du Congo, Cenco en sigle, ne jouit plus de la crédibilité dans l’opinion publique nationale. Au motif, ce Club d’évêques a pris position d’un camp en faveur d’un autre. L’avant dernier président Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya n’avait jamais caché sa haine contre Kabila. Son secrétaire Général Abbé Donatien Nshole avait claqué la porte du dialogue de la cité de l’UA, pour se retrouver au Congrès du Rassemblement à Limete.
Cependant, la désignation du successeur de Corneil Nangaa a réuni les grandes personnalités de la confession religieuses. Six de huit confessions religieuses ont porté leur dévolu à Ronsart Malonga. Ce dernier le fruit de l’élection, semble être contesté par la composante Cenco et ECC.
Ci- dessous, la mise au point de Adam Shalwe :
. Le FCC et CACH forment une coalition gouvernementale librement consentie. Ensemble,ils disposent d’une majorité parlementaire confortabe et indiscutable.
- Les deux partenaires ont investi le Gouvernement de la République par un vote de confiance en séance plénière de l’Assemblée Nationale. Quelle disposition de la Constitution ou quelles loi de la République ont-elles été violentées à l’insu notre Cour Constitutionnelle, véritable gardienne de la conformité de nos lois et de la légalité des actes posés dans la conduite de la politique de la nation,telle que défendue par le Premier Ministre, Chef du gouvernement légal de coalition FCC/CACH !
- Dès lors de quelle légitimité opposable à notre gouvernement légal et à sa majorité indiscutable peut se prévaloir le coordonnateur autoproclamé de la « société civile » ? La dictature du nombre est quelque fois salutaire ! État de droit = Respect des lois = Respect des institutions de la République Démocratique du Congo.
Robert Bokongo