Sécurité : Violences, barbaries et actes de vandalisme contre les Parlementaires, Gilbert Kankonde mis à l’épreuve

La rue n’a pas d’âme. Malheureusement, c’est la voie par laquelle l’UDPS parti qui a chanté la démocratie et l’Etat de droit, passe pour donner des coups aux institutions de la République notamment au Parlement.

Ce dernier a été la cible des partisans qui seraient instrumentalisés et drogués , dans le seul but de régler les comptes aux députés nationaux ayant chassés l’UDPS Jean Marc Kabund À Kabund du bureau de l’Assemblée nationale.

Curieux que cela puisse paraître, il ne s’agit pas de trois initiatives initiées par les honorables Aubin Minaku et Garry Kikata qui font l’objet de contestation, étant donné que les manifestants ignorent même la pertinence et la quintessence desdites lois et sont simplement déverser dans la rue au point de mettre en péril la coalition FCC-CACH, dont le perdant serait Cach, étant donné que le FCC aurait toute la plénitude de former le gouvernement central.

À quelques jours de la commémoration de 60 années de l’acquisition de la République Démocratique du Congo du statut juridique de l’État indépendant et souverain, l’alternance politique civilisée et la démocratie battent de l’aile en raison de l’escalade verbale entre les forces politiques en présence.

En outre, certains acteurs politiques non élus ne cessent de secouer le cocotier vers la dissolution de l’Assemblée nationale, dans le seul but soit d’accrediter la thèse de l’implosion de la République Démocratique du Congo dont le spectre de la balkanisation guette à la porte par la sous traitance de certains politiques, soit se refaire une santé financière et politique en intégrant les institutions.

Les trois propositions des lois qui font l’objet de remous ménage au sein de l’UDPS est une initiative parlementaire et le parti politique UDPS a ses représentants au sein de l’Assemblée nationale par qui, il peut formuler des amendements à travers leur participation aux débats.

Déverser les motocyclistes dans la rue, exposerait ce parti à la rigueur des articles 29 et 30 de la loi organique portant organisation et fonctionnement des partis politiques, notamment suspendre les activités du parti et sanctionner les dirigeants du parti qui s’illustrent à troubler l’ordre public.

Robert Bolongo

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