matinée scientifique

UCC : Matinée scientifique sur les droits des femmes organisée ce vendredi, 19 avril dans la Faculté des Communications Sociales

À l’occasion de la clôture du mois de la femme, la Faculté des Communications Sociales de l’Université Catholique du Congo (UCC en sigle) a organisé ce vendredi, 19 avril une matinée scientifique sur les droits des femmes. C’est sur le site de Mont-Ngafula de ladite université que trois intervenants qui ont développé des sujets liés aux droits des femmes, telles que : la place de la femme dans la gestion de la chose publique avec la Révérende Soeur Catherine Mitembe (Docteur en Communications Sociales), le professeur Abbé Paul Nzinga (Doyen de la faculté des Communications Sociales) et Madame Fridia Assani (CEO de la fondation FOFAN). Le professeur Paul Nzinga, en tant que premier intervenant, expose son discours à travers la date « historique » du 1er avril 2024 qui marque la nomination de la première ministre Judith Suminwa Tuluka. À cet effet, le professeur Nzinga se pose cette question : Qui a été le tout premier ministre de l’histoire de l’humanité ? La réponse à cette question se retrouve, d’après lui, dans l’interdisciplinarité des Sciences de l’Information et de la Communication qui, pour atteindre leurs objectifs, recours à plusieurs disciplines scientifiques, elles que l’histoire, afin de préciser les contours épistémologico-historique du concept, genre appliquer à la politique à la parité politique. Il ajoute que quand on fait une approche historique du genre, la contribution de l’Afrique est souvent sous-estimée, voire ignorée. C’est principalement les occidentaux que les Africains apprennent l’origine de ce concept. Il confirme que le poste de premier ministre était réservé aux femmes. Il conclut ses propos en ce terme : « La nomination de la première ministre, Judith Suminwa ne fais que rendre justice à la réalité historique ». Outre l’intervention du professeur Abbé Nzinga, la Révérende Sœur Catherine Mitembe explique qu’en République Démocratique du Congo, les femmes représentent environ 52% de la population. Cependant, elles n’ont pas suffisamment aidé impliqué dans les activités de la chose publique. Selon elle, pour que la femme mérite une place qui lui revient dans la gestion de la chose publique, et la destruction des stéréotypes serra un facteurs à considérer, car, avant l’homme avait le monopole de la parole, le pouvoir de prendre des décisions. Elle précise que les stéréotypes ont des aspects réducteur, et c’est là, peu importe qu’elles soient positive ou négative. C’est pourquoi la femme possède toujours une place inférieure. La Révérende Sœur Mitembe met fin à son allocution en déclarant que la femme est plutôt appelée à prendre conscience qu’elle est porteuse du développement, à désactiver les liens entre les stéréotypes et le comportement provoquée par ses opinions toute faite et enfin, à participer aux activités de la gestion de la chose publique grâce à la bonne volonté. KUBURHANWA BYAMUNGU EVELYNE

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Au cours d’une matinée scientifique à Kinshasa Guy Loando prêche la gouvernance rationnelle pour le développement

« Dynamique sociale, défis de l’avenir et gouvernance rationnelle », ce thème combien important a été au centre d’une matinée scientifique organisée par le centre polyvalent Mgr Tshibangu et la Chaire de Dynamique sociale de l’Université de Kinshasa, mardi 9 août dans la salle de conférence de la paroisse Notre Dame de Fatima. Ce rendez-vous d’élites qui a réuni principalement des étudiants de la capitale a été marqué par des exposés de quatre orateurs dont le ministre d’État en charge de l’Aménagement du Territoire, Me Guy Loando Mboyo. Défenseur de la bonne gouvernance pour le développement holistique de la RDC, le patron de l’Aménagement du Territoire s’est appesanti dans son intervention sur une thématique nom moins importante à savoir « de la navigation à vue à la gouvernance rationnelle ». Dans le fond, Me Guy Loando Mboyo a illustré le naufrage du Titanic qui avait mis fin à la traversée inaugurale du RMS Titanic, un paquebot qui devait relier Southampton à New York, pour expliquer la navigation à vue, avant de définir des concepts clés, à savoir : la gouvernance, la rationalité, le leadership, le développement et le management. Dans la foulée, ce brillant orateur a démontré aux étudiants qu’il est possible de passer de la navigation à vue à la gouvernance rationnelle. C’est ici qu’il a partagé sa conviction partant du leadership incarné par le chef de l’État, Félix Tshisekedi. C’est dire que le patron de l’Aménagement du Territoire croit dur comme fer que la RDC amorce son décollage grâce aux initiatives et aux actions en cours. Le pays est donc en voie de quitter l’étape difficile de la navigation à vue qui relève de l’orgueil humain et des ambitions démesurées d’une seule personne, vers une gouvernance rationnelle. Et donc, les objectifs poursuivis sont clairs. Les actions menées actuellement visent la rentabilité et avec comme finalité, le résultat qui booste le développement national. Pour Me Guy Loando Mboyo, avec l’avènement à la tête du pays de Félix Tshisekedi, une réelle lueur d’espoir se lève, non seulement sur le mode de gouvernance, mais également sur le type de leadership qu’il faut pour conduire le pays vers un développement intégral et durable. A cet effet, le projet de développement à la base des 145 territoires traduit de manière claire la volonté, mieux, l’engagement des dirigeants à maintenir le cap pour le décollage du pays. Un peu plus explicite et d’un ton rassurant dans le jeu de questions-réponses, Me Guy Loando a fait savoir que le gouvernement a été investi sur base d’un programme de développement. Il a, également, assuré aux futurs cadres du pays que la vision du chef de l’État est de faire des congolais des millionnaires. Il a enfin partagé avec les étudiants les différentes actions menées par la Fondation Widal en faveur de la jeunesse.

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