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Christophe Mboso N'Kodia Pwanga – Libéral Info
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Assemblée Nationale : Christophe Mboso clarifie à Hadja Lahbib la lanterne sur la question de levée du moratoire en RDC

Le Président du bureau d’âge de l’Assemblée Nationale, Christophe MBOSO, a reçu en audience, mercredi 10 avril 2024 au Palais du peuple, la ministre belge des Affaires Étrangères, du Commerce extérieur et des Institutions culturelles fédérales, Hadja Lahbib, accompagnée de l’ambassadrice du royaume de Belgique en RDC, Roxane de Bilderling. Cet échange musclé a tourné sur la question de la levée du moratoire contre la peine de mort en République Démocratique du Congo. Hadja Lahbib s’est fait expliquer les motivations ayant conduit le gouvernement à revenir sur cette sentence que d’aucuns considèrent comme un tel recul sur la voie de la promotion des droits humains, après plus de d’une vingtaine d’années de suspension de l’exécution de la peine de mort. Pour le speaker de la Chambre basse, Christophe MBOSO, « Nous avons voté à l’époque le moratoire. On a suspendu de l’exécution de la peine de mort, nous y sommes revenus compte tenu de la situation extrêmement grave qui se passe à l’Est du pays. C’est la seule raison qui nous a conduits à cela. Nous connaissons beaucoup de cas de traîtrise et je crois que nous étions obligés, devant les circonstances de la gravité de la situation, de revenir sur la peine de mort ». « Tous ces pays européens sont revenus sur la peine de mort. Et par après, ils ont aboli cette peine de mort. Mais nous, nous ne sommes qu’au début de l’instauration d’un État, avec beaucoup d’agression à l’Est du pays, nous étions obligés de revenir sur la peine de mort », rajoute Christophe MBOSO. Prennant la parole, Hadja Lahbib s’est exprimé en ces termes : « J’ai aussi exprimé mes inquiétudes quant à la levée du moratoire sur la peine de mort. Vous savez que la Belgique est inquiète et défend l’abrogation universelle de la peine de mort, ce que nous continuerons évidemment à défendre partout ». « Au cours de nos échanges, j’ai d’abord félicité le président Mboso pour sa réélection. Ensuite, nous nous sommes entretenus pour envisager des réformes à mener pour améliorer davantage le processus démocratique en RDC », a déclaré la ministre des Affaires étrangères du royaume de Belgique. Les deux Hautes Personnalisées ont aussi échangé autour de la situation sécuritaire de l’Est de la République Démocratique du Congo. Jonathan LOALI

RDC/AN : Christophe MBOSO NKODIA PWANGA rassure sous peu, de l’élection des membres du bureau définitif

La date de la publication du calendrier des opérations de vote méconnue jusqu’ici, hormis une réponse brève entremêlée d’incertitude du président du bureau provisoire Christophe Mboso Nkodia,  »D’ici peu ». « Nous sommes en pleine préparation pour terminer le dernier point de la session extraordinaire concernant l’élection et l’installation des membres du bureau de l’assemblée nationale », a t-il renchérit. Tels sont les mots prononcés par Christophe Mboso à la sortie d’une rencontre avec l’actuelle première ministre, Son Excellence Judith Tuluka Suminwa, Christophe Mboso l’a fait savoir à la presse dans la soirée du Jeudi 11 Avril. Selon quelques indiscrétions au sein de l’Union sacrée, certains noms se coudoyent pour le perchoir. Il s’agit de Vital Kamerhe, Christophe Mboso (président provisoire) et Modeste Bahati. À l’égard de leur adversité, seul le président de la République, tenant la majorité parlementaire est légitime pour être trancher à ladite course. Par contre, l’opinion publique s’attriste sur l’avidité de l’homme politique congolais qui est susceptible de sacrifier l’intérêt commun pour des fonctions gouvernementales. Mais alors que le pays s’enfonce dans un vide économique, social et sécuritaire abyssal, le gouvernement ne devrait pas trop traîner dans les manœuvres de la nomination puisque le peuple a soif de la stabilité sociale. Osée KADIMA

RDC/Assemblée nationale : L’homme submergé du bon sens, Christophe MBOSO NKODIA PWANGA, gardien des textes parlementaires.

Des langues se sont deliées ce mardi 09 Avril dans les installations du parlement Congolais. Les assistants parlementaires de la dernière législature réclament du bureau Mboso le paiement de plusieurs avantages : Au regard de toutes ces fausses accusations, le bureau MBOSO apporte son éclairage. Le règlement intérieur de la législature passée reconnaissait les assistants parlementaires comme personnel politique attaché aux députés nationaux et leurs salaires dépendaient de la ligne budgétaire fixée par l’AN. Étant une personne comblée par le bon sens et générosité hors du commun, le président du bureau sortant, Christophe MBOSO NKODIA PWANGA, l’actuel président du bureau provisoire de l’Assemblée nationale a accepté de prendre en charge ce personnel politique attaché aux députés bien que la ligne budgétaire fixée par l’AN ne prévoit aucune indemnités de sortie pour les assistants parlementaires. « Le problème des assistants est résolu par le règlement intérieur et des élus du peuple . C’est le cas de l’actuel qui avait prévu deux assistants par député, mais la plénière qui est souveraine en a décidé autrement. C’est maintenant facultatif », a commenté un député rencontré dans le couloir de l’AN. C’etait donc de bonne volonté que le président Mboso a consenti de procéder au payement des indemnités de sortie au personnel politique de quelques figures tels que du bureau de KAMERHE, BOSHAB et MINAKU bon gré mal gré. Selon la lumière apportée par le règlement intérieur de l’AN et du député anonyme, il importe de soulever que le président du bureau sortant, Christophe MBOSO NKODIA PWANGA a bel et bien payé le personnel des cabinets KAMERHE, BOSHAB, MINAKU ainsi que MABUNDA 1/12 de mois y compris Avril et Mai. Pour plus de clarté, parmi le personnel politique payé par le bureau MBOSO, quelques noms ont étaient étalés. Il s’agit de : Signalons même que le président MBOSO, par son bon sens et sa générosité, a effectué une augmentation de paiement des veuves qui autrefois de 1960 à 1992 percevaient 7.500 Fc/mois et aujourd’hui ces dernières perçoivent désormais 1000.50.000 .500 Fc (un million cinquante mille cinq cent de francs congolais). De même, avant l’avènement du bureau Mboso, les assistants parlementaires percevaient 502.000 Fc/mois et c’est l’homme au bon sens a décidé d’octroyer 1.777. 000 Fc( un million sept cents septembre sept de Franc congolais à ces assistants parlementaires. Osée KADIMA

RDC: Le Président de la République Félix Tshisekedi sera face à la jeunesse ce 30 novembre

La rencontre entre le Chef d’Etat et la Jeunesse congolaise ce 30 novembre aura bel et bien lieu au Palais du Peuple. En prélude de ladite rencontre une délégation du conseil national de la jeunesse congolaise conduite par son président William Mukambila, a été reçu, ce mercredi 23 novembre 2022, par le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga. Au cœur de cette entrevue, les préparatifs de cette rencontre historique qui mettra le président de la République face à la jeunesse congolaise. Prenant la parole, William Mukambila est revenu sur le contenu de leurs échanges. Pour lui il était donc impérieux de rencontrer le président de l’Assemblée nationale pour s’entretenir sur les préparatifs de cette grande messe de la jeunesse. Il a en outre indiqué que le speaker de la Chambre basse du Parlement Christophe Mboso était très réceptif à leur message et a promis tout son accompagnement. Notons que cette audience publique mettra le chef de l’Etat face à la jeunesse sur les grandes questions ayant trait à la marche de la nation. GEB

Conflits Teke-Yaka : Christophe Mboso a échangé avec une forte délégation de l’espace Bandundu sur la crise de Kwamouth

Une forte délégation de l’espace Grand Bandundu, conduite par les trois gouverneurs de provinces respectivement du Kwango,Kwilu et Maindombe, a été reçue, ce lundi 3 octobre, par Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, président de l’Assemblée nationale dans son cabinet du travail au palais du peuple. Parmi les hôtes du speaker de la Chambre basse du Parlement, on a noté la présence de Jean-Marie Peti-Peti, Willy Itshundala et Rita Bola, respectivement gouverneurs des trois provinces précitées,des présidents des assemblées provinciales de trois provinces, les députés provinciaux, les députés nationaux ressortissants de ces trois provinces ainsi que les chefs coutumiers et certains notables du Grand Bandundu. C’est autour de l’insécurité qui règne dans le territoire de Kwamouth que les échanges ont tourné. D’entrée de jeu, le président de l’Assemblée nationale s’est adressé aux chefs coutumiers en ces termes : « Que chacun de vous milite pour que la paix règne dans sa chefferie, qu’on revive la paix comme c’était auparavant sans discrimination, recevez les étrangers, donnez-leur à manger et même la terre pour cultiver et non le pouvoir coutumier ». Prenant la parole, le chef Yamfu a remercié le président de la République, le président de l’Assemblée nationale, le VPM de l’Intérieur, les élus nationaux, les trois gouverneurs… bref, tous ceux qui se sont impliqués pour que la paix revienne dans le territoire de Kwamouth. Mafu Alex, chef coutumier teke de Maï-Ndombe a de son côté, plaidé pour que le meneur des troubles soit puni sévèrement et sans complaisance. Rita Bola, gouverneure de Maï-Ndombe, est revenu sur l’importance de cette grande importance rencontre qui réunis tous les acteurs concernés et traduit l’unité. Elle espère que la paix viendra de la réconciliation. Le gouverneur du Kwango, Jean-Marie Peti-Peti, a estimé que la délégation est allée rendre compte des pourparlers qu’ils ont eus au ministère de l’Intérieur au sujet du conflit interethnique dans le Kwamouth. Gladys EBILE BOMBO

Assemblée Nationale : les Nations Unies chez Mboso pour échanger sur les incidents tragiques du Nord-Kivu

Une forte délégation des Nations Unies conduite par Jean-Pierre LaCroix, secrétaire général adjoint des Nations Unies en charge des opérations de maintien de la paix était ce samedi 30 juillet 2022, auprès de Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, président de l’Assemblée Nationale, qui avait à ses côtés les membres du bureau. L’essentiel des échanges a tourné autour de la situation dans le Nord-Kivu en rapport avec les manifestations anti-Monusco, qui se sont produits respectivement à Goma, Butembo et Uvira. Accompagné, entre autres, de Bintou Keita, représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies en RDC et cheffe de la Monusco, M. De la Croix s’est exprimé en ces termes :  » Nous remercions le président de l’Assemblée nationale de nous avoir reçus. Il était d’abord important de rendre hommage à toutes les victimes des incidents tragiques de ces derniers jours, notamment les victimes congolaises et le personnel des Nations Unies. J’ai été sensible au message du président de l’Assemblée nationale dans ce contexte. Nous nous sommes aussi convenus qu’il est important de nous serrer les coudes, de travailler ensemble, de regarder ce qui s’est passé et d’en tirer des leçons…Chacun a des efforts à faire, de part et d’autre, d’une manière claire« . De ce fait, a expliqué Jean-Pierre de la Croix, les Nations Unies s’inscrivent dans ce plan de désengagement et de retrait de ses troupes du territoire congolais, mais elles souhaitent travailler d’abord aux conditions de retour de l’autorité de l’Etat, avant de se retirer. Au cours de cette entrevue avec le bureau de l’Assemblée nationale, la délégation des Nations Unies a salué les efforts diplomatiques menés au niveau régional. « Nous avons souligné l’importance des efforts diplomatiques qui sont conduits sous l’égide du Kenya et de l’Angola, parce que cette crise a une forte dimension régionale évidente..il était absolument important que les décisions qui ont été prises dans le cadre de ces deux processus diplomatiques soient mises en œuvre rapidement ; que ce soit par la force .régionale, que ce soit les efforts en matière de désarmement des groupes, que ce soit la mise en œuvre d’un mécanisme de vérification de sécurité renforcée au niveau de l’Est du Congo. Il est important aussi que nous communiquions de la manière unie avec les responsables politiques, les autorités, sans cacher nos faiblesse de part et d’autre, en mettant un accent sur nos efforts et nos réussites communes, parce qu’ils existent, mais ils sont chaque fois occultes« , a souligné M. De la Croix. GEB