Covid-19

RDC/Sport: Amos Mbayo rassure la retransmission des matchs de la LINAFOOT à la télé par la RTNC et les chaînes partenaires

Le ministre des sports et loisirs, Amos Mbayo Kitenge a lancé officiellement le championnat de la Vodacom Ligue1, le mercredi 30 septembre 2020, dans l’environnement de la Covid-19. La cérémonie a eu lieu à la salle Suzanne de Sultani hôtel de la Gombe, en présence du ministre de la communication et médias, Jolino Makelele, du ministre de la jeunesse, Billy Kambale, du vice-gouverneur de Kinshasa, Néron Mbungu, du président de la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA), Constant Omari, les délégués des entités subdélégataires, ainsi que des partenaires de la ligue nationale de football. Le ministre des sports et loisirs a fait savoir que le championnat de la Vodacom Ligue1 se jouera à huis clos, conformément à la décision prise par le conseil des ministres, présidé par le Chef de l’État, Felix-Antoine Tshisekedi. Par ailleurs, Amos Mbayo a rassuré à l’opinion sportive que les matchs seront retransmis à la télévision par la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) et les chaînes partenaires de la Vodacom, tout en demandant les gouverneurs des provinces de prendre en charge les équipes engagées au championnat d’élite congolaise. Il sied de noter que le président de l’association de dirigeants du Congo, Lambert Ossango, a remercié le Président de la République, pour avoir pris en charge le déplacement des équipes pour le championnat de la Vodacom Ligue1. Gratos Kizita

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RDC Covid-19 : 45 nouveaux cas confirmés, 303 nouvelles guérisons zéro décès.

Le comité multisectoriel de la riposte contre le Covid-19 en République Démocratique du Congo a publié son bulletin Nº 133 du lundi 03 août 2020 sur la situation épidémiologique dans le pays. 45 nouveaux cas , dont 34 à Kinshasa ont été enregistrés, 3 dans le Nord Kivu, 1 en Ituri, 1 au Kwilu et 6 au Sud Kivu. Depuis le début de la pandemie déclarée le 10 mars 2020, le cumul des cas est de 9 178, dont 9 177 cas confirmés et 1 cas probable. Au total, il y a eu 215 décès (214 cas confirmés et 1 cas probable) et 7 727 personnes guéries. Célestine Masudi

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Kinshasa : Il n’existe pas de taxe pour la désinfection des églises.

Il y a peu, une rumeur largement rependue sur les réseaux sociaux faisait état d’une taxe que l’Hôtel de ville de Kinshasa imposerait aux églises, pour la désinfection de leurs lieux de culte. Dans un communiqué officiel signé par Me Freddy Bonzeke Iliki, le cabinet du Gouverneur dément toutes ces allégations de nature à ternir l’image de la ville et demande à toutes les structures contactées pour ce faire de pouvoir dénoncer les auteurs. Par ailleurs, le même cabinet informe l’opinion publique qu’à la suite de la levée de l’Etat d’urgence telle que décidé par le Chef de l’Etat, le 21 juillet 2020, les responsables des églises, les bars, restaurants ainsi qu’autres lieux publics comme les aéroports sont tenus à l’observance des mesures barrières comme le port obligatoire des masques, la distanciation physique, le lavage régulier des mains, la désinfection de tous les lieux publics et cela dans le but de limiter la propagation de la Covid-19. Robert Bolongo

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COVID-19 : La RDC pas concernée par la levée des restrictions de voyage

A la suite des mesures de restriction temporaire de tous les voyageurs non essentiels en provenance des pays tiers vers l’Union Européenne, prises par la Commission Européenne, le Conseil Européen a décidé de la levée progressive de ces mesures notamment à l’égard des ressortissants de 15 (quinze) pays hors Union Européenne. La République Démocratique du Congo n’est pas concernée par la levée de cette mesure, a informé Mme la ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Marie Tumba Nzeza. Et d’ajouter que le Conseil Européen a édicté des conditionnalités tenant à l’évolution du COVID-19 dans les pays des ressortissants bénéficiaires. Après avoir fait observer que la République Démocratique du Congo est mieux lotie en la matière que d’autres pays bénéficiaires, Mme la Ministre d’Etat pense que la réciprocité devrait être s’appliquée aux ressortissants de l’Union Européenne. Elle a informé le Conseil qu’elle a fait convoquer l’Ambassadeur de l’Union Européenne pour en savoir davantage sur les raisons de l’exclusion de la RDC de la liste des bénéficiaires. Après débats, le Conseil des Ministres a autorisé Mme la Ministre d’Etat à écouter les explications de l’Ambassadeur, à charge pour elle d’en rendre compte à la prochaine réunion du Conseil pour décision. Robert Bolongo

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Éducation : Oui à la reprise des activités scolaires et universitaires, oui au respect des gestes barrières.

Le Président de la République a déclaré le 21 juillet dernier la fin de l’état d’urgence sanitaire proclamé par l’ordonnance n° 20/014 du 24 Mars 2020 pour faire face à l’épidémie de la COVID-19. L’une des conséquences de cette décision est la levée de la mesure de fermeture temporaire sur toute l’étendue du territoire national des écoles, des universités, des instituts supérieurs officiels et privés, d’abord pour les classes terminales. A quelques jours de la reprise des enseignements au sein des établissements scolaires et universitaires, le Président de la République a rappelé et a insisté auprès des membres du Gouvernement, en particulier des ministres sectoriels pour qu’ils veillent à la mise en place et au respect scrupuleux du dispositif anti-Covid-19 au sein de tous les établissements concernés. Il y va de la santé de nos enfants et de notre jeunesse. Car la Covid-19 n’est pas derrière nous, elle est encore avec et parmi nous. C’est pourquoi il a demandé à tous les responsables des établissements scolaires et universitaires d’observer et de faire observer strictement les mesures barrières reprises ci-dessous à l’entrée et à la sortie des écoles et des universités : la mise en place des dispositifs de contrôle à chaque entrée impliquant la prise de température, le lavage des mains et/ou l’application des gels hydroalcooliques ; le port correct et obligatoire des masques dans les salles de classe et autres espaces publics au sein desdits établissements ; le respect de la distanciation physique entre élèves et étudiants dans les salles de classe ou de cours et les autres lieux destinés aux activités scolaires et universitaires ; la décontamination et la désinfection régulières des locaux consacrés aux activités scolaires ou académiques. Disons que les ministres sectoriels doivent organiser des contrôles pour s’assurer du respect de ce dispositif au sein des écoles et universités et entrevoir des sanctions en cas de non-respect. Ils doivent également toutes affaires cessantes prendre langue avec les différents syndicats des enseignants et professeurs pour harmoniser les modalités de cette reprise des cours. Robert Bolongo

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Sport : La Covid-19 oblige la CAF a repoussé les grandes messes

Réuni ce mardi 30 juin par vidéo conférence, la Confédération Africaine de Football a tranché. Initialement prévu du 9 janvier au 6 février au Cameroun, la Can 2021 est renvoyée en janvier 2022. Les incertitudes sur l’évolution lié à la propagation du coronavirus et surtout des problèmes liés au calendrier ont contraint la CAF à prendre cette position. Avec quatres rencontres des éliminatoires à disputer avec seulement deux dates FIFA , la messe était dite. Concernant le CHAN qui devrait se tenir en avril dernier au Cameroun, la compétition est renvoyée en janvier 2021. Enfin la CAN feminine2020 a été complètement annulée. La CAF annonce à la place la création de la ligue des champions féminine. Robert Bolongo

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Communication de Son Eminence Fridolin AMBONGO BESUNGU

Dans un message publié samedi 27 juin 2020, Mgr Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa a donné des nouvelles directives d’administration des sacréments qui ont été interdits depuis le 20 mars dernier suite aux mesures sanitaires liées à la lutte contre la propagation du Coronavirus . Et malgré que la situation n’a pas changé depuis 3 mois , le prélat catholique a tout de même autorisé l’administration des sacréments à la demande persistante des fidèles. Ces célébrations devraient, d’après le communiqué, se faire dans le strict respect des mesures de distanciation physique.Ci-dessous l’intégralité du message du cardinal Fridolin Ambongo. De la célébration des sacrements durant cette période de pandémie de Covid-19. Communication de Son Eminence Fridolin Cardinal AMBONGO BESUNGU, Archevêque Métropolitain de Kinshasa À tous les Curés de l’Archidiocèse de Kinshasa; Dans ma communication du 20 mars 2020, au début de la pandémie de Coronavirus, j’avais interdit la célébration de certains sacrements. Cependant, trois mois après, je constate que la situation n’a pas changé.Considérant les biens spirituels des fidèles et tenant compte de leur prise de conscience du danger que représente cette épidémie, dans le strict respect des mesures barrières en vigueur, je donne les dispositions suivantes relatives à la célébration des sacrements durant cette période de pandémie: 1) Le Baptême des bébés et le Mariage peuvent être célébrés.Cependant, on veillera à renouveler l’eau baptismale. 2) Pour la célébration eucharistique: il y a possibilité d’organiserplusieurs célébrations par jour pour répondre à la demande croissante des fidèles.3) Les prêtres se rendront disponibles pour les confessions individuelles en respectant la distanciation sociale,4) Si cela convient, Ies prêtres visiteront les malades ;au besoin, ils leur administreront l’Onction des malades En toutes circonstances, on veillera strictement à:a) La désinfection du lieu et des objets de culte avec leurs dépendants(sacristie, chapelle, linges liturgiques, etc.),b) Rappeler que les fidèles malades, ou qui présentent certains symptômes de Coronavirus sont priés de rester à la maison. Cela vaut aussi tant pour les prêtres, les acteurs liturgiques que les fidèles laïcs. Que par l’intercession de la Sainte Vierge Marie, Dieu nous protège contrecette pandémie. Fait à Kinshasa le 27 juin 2020 Fridolin Cardinal AMBONGO BESUNGU,

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TRIBUNE : L’APRÈS COVID-19 SE PRÉPARE DÈS MAINTENANT !

Esquisse de réflexion sur la RDC Post-Covid19Par l’Honorable Sénateur Guy LOANDO MBOYO « L’instant de la crise peut donc constituer le Kairos, autrement dit : lemoment opportun pour mettre au clair un diagnostic et redessiner l’avenir » De la colonisation, en passant par la fin de la guerre froide et la crise économique de2008, l’Afrique en général et la République Démocratique du Congo en particulier ont toujours subi les différentes crises majeures qui ont émaillé la planète précédemment sans en anticiper l’après. Prévenir les risques, c’est savoir envisager la suite des événements à partir d’un certain nombre des scénarios envisageables. Au-delà d’être une catastrophe inextinguible qui endeuille brutalement lemonde, l’Afrique et même notre Pays qui en a perdu quelques-uns de ses dignes filles et fils, cette pandémie est une opportunité pour repenser l’ordre de nos priorités et transformer en profondeur notre Pays.Cette esquisse de réflexion sur notre Congo post-Covid-19, est un appel àcontribution de toutes les intelligences de ce Pays sur la manière dont notrefutur commun doit être envisagé, car le monde va profondément changer après cette crise et notre Pays à l’instar de plusieurs autres, devra choisir entre l’action transformatrice ou l’inanition autodestructrice.La pandémie du Covid-19 qui frappe de plein fouet le monde et qui s’estsubrepticement invitée chez nous en République Démocratique du Congo marque un bouleversement important qui ouvre une ère d’incertitudes et de déséquilibres majeurs. Notre pays a, dès la découverte des premiers cas, répondu à la crise sanitaire par des mesures d’urgence inédites en temps de paix dans le cadre de la mise en oeuvre de l’état d’urgence décrété par Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République, à savoir : Fermeture des frontières aux passagers ; Isolement de la capitale Kinshasa du reste du Pays ; Interdiction des rassemblements et réunions de plus de vingt (20)personnes ; Fermeture des écoles, universités et églises. A ce jour, malgré toutes les projections des scientifiques, personne n’est à mesure de prédire avec exactitude la fin de cette pandémie ou combien de temps cette crise va durer. Quoi qu’il en soit, il y aura un après Covid-19 avec toutes les conséquences imaginables et nous devons nous y préparer dès maintenant. A quoi ressemblera la RDC après cette crise ? Telle est la grande question que nous devons tous nous poser gouvernants et gouvernés, sans en avoir la prétention de détenir la vérité suprême sur la suite des événements.Le système sanitaire, le cadre macroéconomique, le droit du travail, la bonne gouvernance, le système éducatif, la sécurité alimentaire sont les points sur lesquels j’apporterais ma perspective du lendemain. La santé n’a pas de prix Sur le plan sanitaire, malgré les efforts louables du Professeur Jean-JacquesMUYEMBE et son équipe de riposte pour ralentir la propagation du virus, nous savons aujourd’hui que cette crise a un effet révélateur sur le faible niveau de résilience des structures de santé face aux épidémies et situation d’urgence. L’évaluation externe du Règlement Sanitaire International a montré que les capacités minimales du pays à prévenir, détecter et riposter rapidement aux menaces pour la Santé Publique sont encore faibles. La revue des épidémies connues depuis 2016 a relevé que l’investigation et la réponse était tardive et inadéquate suite à l’absence ou mieux, l’impréparation des équipes d’interventions rapides et du manque de pré positionnement des kits répondant au design des épidémies potentiels et le déficit decoordination de la surveillance et de la riposte. Pour le cas actuel du Covid-19, les structures sanitaires sont dépassées par les quelques malades hospitalisés, et il paraît alors évident que cette pneumonie virale ne pourrait être prise en charge à grande échelle à cause de notre système de santé précaire. Les appareils d’assistance respiratoire, par exemple manquent cruellement dans de nombreux hôpitaux et notre capacité à procéder à des tests de dépistage massif reste limitée ; nous n’avons pas encore atteint 200, en termes de dépistagejournalier. L’apparition de l’épidémie du Covid-19 constitue également d’une remise enquestion pour l’élite dirigeante de notre Pays ; confinée chez elle en raison de la fermeture des frontières et de la surcharge exponentielle des structures sanitaires des pays occidentaux se rendant compte qu’il sera impossible de se faire évacuer en cas d’urgence sanitaire comme il en était le cas pour plusieurs alors qu’elle a œuvré au délitement de notre système de santé. Il devient clair que nous devons y consacrer plus de ressources, à ce titre, les sociétés d’assurances établies en RDC doivent assumer leur mandat social en investissant dans le développement des structuressanitaire de qualité. Cette crise aura eu le mérite de démontrer que la santé devra dorénavant être placée comme secteur stratégique et prioritaire pour le développement du Pays conformément au Plan National de Développement Sanitaire recadré pour la période 2019-2022. Pour cela, nous devrons répondre à différents défis post-Covid-19 : Sur les 8.266 centres de santé que comptent notre pays seuls 1006 sont construits en matériaux durables, ce qui représente 12%2, et, le secteur a une faible capacité à assurer la maintenance des infrastructures et équipement acquis, due à l’absence des unités de maintenance compétentes opérationnelles à différents niveaux. Il sied à cette fin d’accroître l’enveloppe du budget de l’État alloué à la santé publique qui est de 5 à 15 %, afin d’investir davantage dans le développement des infrastructures sanitaires viables. Création d’emplois durables dans le secteur de la santé : il se pose un problème de déséquilibre dans l’organisation des filières et dans la répartition équitable des professionnels de santé. Selon l’OMS, le ratio du nombre de médecins par 1000 habitant pour la RDC est de 0’2 au lieu 2,2 de moyenne mondiale, nous plaçant dans le rang des 54 Pays au monde qui connaissent une pénurie aiguë de prestataires de services de santé. Cela étant dû aux mauvaises conditions de travail, l’insuffisance des mesures incitatives et le non-paiement des salaires pour certains et la modicité pour ceux qui en sont bénéficiaires. En 2017, sur l’effectif de 161.966 agents, 47.052 sont bénéficiaires de salaire soit 29 % des agents. Quant à la

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Entre Muyembe et Ilunkamba, controverse des chiffres autour de la Covid-19

Déclarée le 10 mars, la gestion de la Covid19 est sujet de controverse de chiffres entre d’une part l’équipe de Riposte conduite par Jean Jacques Muyembe et d’autre part, Sylvestre Ilunga Ilunkamba, Premier ministre.Invité du Magazine le Débat sur la station de Top Congo, Docteur Muyembe reconnaît n’avoir reçu que la somme de 1 millions de dollars américains de la part du Gouvernement. Cette somme disait-il a permis la paie des membres de son équipe. Cette dernière, poursuit-il, accusent à ces jours deux mois d’arriérés de salaire. Toutefois, il a affirmé avoir des garanties du Chef du Gouvernement quant à ce. Par ailleurs, Jean Jacques Muyembe dit d’autre part ne pas reconnaître une enveloppe du Gouvernement et assure que le Secrétariat de l’équipe de Riposte a l’autonomie administrative et non financièrePar conséquent, juste après l’annonce de la pandémie du Covid 19 au mois de mars, Docteur Eteni Longondo avait annoncé que le gouvernement avait déboursé une enveloppe de 1,8 millions de dollars américains pour la Riposte. À en croire le ministre de la santé, cette somme devrait servir à la sensibilisation. D’autre part, le Premier Ministre à la suite de la question orale avec débat initiée par l’honorable François Nzekuye, avait expliqué que son Gouvernement avait déjà décaissé pour le compte de la riposte la bagatelle somme de 3.005.500 dollars. Une semaine plus tard, soit le 17 mai, Sylvestre Ilunga Ilunkamba annonçait à la chambre des sages que son gouvernement avait déjà débloqué une somme de 18,7 milliards de FC, soit 10,7 millions de dollars.Cette guerre de chiffre ne limite pas à contré la contagion du Covid19. Le cumul des cas est de 5.477 dont 5.476 cas confirmés et un cas probable.Au total, la RD Congo a enregistré 122 décès dont 121 cas confirmés et un cas probable, soient 719 personnes guéries ; tandisque sur les 26 provinces, 11 sont actuellement touchées. La controverse des chiffres persistent entre l’équipe de Riposte et le Gouvernement de la République. Pius Romain Rolland

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Covid-19 : Cinquième prorogation de l’État d’urgence sanitaire

L’Assemblée nationale en session plénière de ce vendredi 19 juin, son bureau a réceptionné et enregistré une énième demande du Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Felix-Antoine Tshisekedi, relative à la cinquième prorogation de l’État d’urgence sanitaire pour 15 autres jours, soit du 20 juin au 5 juillet 2020. À en croire les données de l’équipe de Riposte à la pandémie, la menace de contagion est réelle, au point qu’il faille prendre des mesures nécessaires pour contrer la propagation de cette pandémie, par le respect des mesures barrières. Malgré l’insistance des élus nationaux à la quatrième prorogation de déconfiner Gombe puis intensifier les mesures barrières par le port obligatoire de masque, la Taskforce estime quand à ce propos, de proroger l’État d’urgence, puis maintenir le confinement de la Gombe, l’épicentre de la Covid19. Pius Romain Rolland

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