Procès 100 jours

Procès 100 jours : La cour de cassation s’accorde 48 heures avant de se prononcer sur la demande de mise en liberté provisoire de Vital Kamerhe.

Vital Kamerhe ne se montre toujours pas prêt à accepter toutes les décisions rendues au premier degré. Le directeur de cabinet du Chef de l’État a comparu, ce lundi 3 août, en chambre de conseil devant la Cour de Cassation siégeant en matière d’appel contre l’arrêt de la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe sur la demande de mise en liberté provisoire introduite par ses avocats. Au terme de cette audience, la Cour a pris la cause en délibérée, pour son jugement en la matière qui sera rendu dans les 48 heures. Entretemps, Vital Kamerhe, président national de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), ne cesse de clamer son innocence, et devra continuer à longer les murs épais de la prison centrale de Makala tout en espérant un avis favorable de la part du juge d’appel de la cour de cassation. Toutefois, l’un de ses conseillers, Me Jean-Marie Kabengela, avait annoncé qu’ils sont prêts à vider toutes les voies de recours pourvu qu’ils obtiennent gain de cause. Dans le même élan, il faut également signaler que la demande de liberté provisoire de Vital Kamerhe avait été rejetée pour une nouvelle fois, le 27 juillet dernier, par la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe siégeant en chambre de conseil. C’est par la suite de la dégradation de l’état de santé de Vital Kamerhe que ses avocats avaient formulé, pour une prise en charge médicale appropriée, une demande légale de liberté provisoire en faveur de leur client. Hélas ! Les juges n’ont pas pu accéder à cette requête. Pendant ce temps-là, le dircab de Félix Tshisekedi condamné à 20 ans de travaux forcés au premier degré par le TGI/Gombe, continue à attendre l’instruction de son procès en appel renvoyé au vendredi 7 août 2020. Célestine Masudi

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Prononcé des peines, le Tribunal de Grande Instance requiert 20 ans de servitude pénale aux prévenus

Pendant près deux heures, le Tribunal de Grande Instance Kinsanda-Gombe, par son réquisitoire dans l’affaire à prononcé contre Vital Kamerhe Lwakanyingini, Samih Jammal et Janot Muhima Ndole, en cause, le ministère public et la République Démocratique du Congo contre lesdits prévenus.Au regard de tous les instruments juridiques mis à contribution, notamment la loi portant organisation et fonctionnement de juridictions de l’ordre judiciaire, le Code des procédures pénales, le Code Pénal en ses articles 5, 14, 145 et 147bis, vue la loi n°04/016 du 19 juillet 2004, portant lutte contre le blanchiment des capitaux et financement du terrorisme en ses articles 1,3 point1, 6, 36, 37 et 38 alinéa 9point 2; notamment la loi n°10/010 du 27 avril 2010 relative au Marché Public, en ce y compris respectivement le décret-loi n°017/2002 du 03 octobre 2002 portant Code Éthique de l’Agent Public; le décret n°10/22 du 02 juin 2010 portant Manuel de procédures de la loi relative au Marché Public et enfin l’arrêté de l’organisation judiciaire n°299/79 du 20 août 1979 portant Règlement intérieur des Cours Tribunaux et Parquet en son article 150,Le Ministère public qui reçevait les déclinatoires de compétence soulevés par le prévenu Samih Jammal, dit non fondé et par voie de conséquence le rejette, puis le Tribunal se déclare compétent.En outre, le tribunal dit recevoir mais déclare non fondé et fin de non recevoir tiré de l’obscurité du libellé soulevée par le même prévenu Samih Jammal, le tribunal la rejette.Par ailleurs, le tribunal s’était dit irrecevable l’exception d’inconstitutionnalité soulevée les prévenus Samih Jammal et Vital Kamerhe, le Tribunal s’est dit qu’il n’y avait pas lieu de surseance.Cependant, le tribunal s’était dit établi en fait et en droit l’infraction de détournement de deniers publics portant sur le montant de 48.831,148 dollars américains à charge de Samih Jammal et Vital Kamerhe. Ils sont condamnés chacun à 20 ans des travaux forcés et prononce en outre l’interdiction pour 10 ans après l’exécution de la peine, du droit du vote, du droit d’éligibilité contre le prévenu Vital Kamerhe.Ce dernier est interdit d’accéder aux fonctions publiques et para-étatiques quelqu’en soit l’échelon ; privation du droit à la condamnation ou à la libération conditionnelle et à la réhabilitation à charge de Vital Kamerhe et Samih Jammal.Le Tribunal prononce par ailleurs la peine d’exclusion définitive du territoire de la RDC après exécution de la peine à charge de Samih Jammal. Dit établi en fait et en droit *l’infraction de détournement de 2.137.500$ à charge de Samih Jammal et Vital Kamerhe. Ils sont condamnés pour cette infraction à 10 ans et à l’interdiction pendant 5 ans après l’exécution de la peine du droit du vote et d’éligibilité contre Vital Kamerhe puis son interdiction d’accès aux fonctions publiques et para-étatiques, quel qu’en soit l’échelon ; privation du droit à la condamnation ou à la libération conditionnelle et à la réhabilitation à sa charge, puis prononce l’expulsion du territoire national Samih Jammal après exécution de la peine. Le tribunal a condamné également les prévenus Vital Kamerhe et Jeannot Muhima Ndoole pour détournement de 1.154.800 dollars pour deux années des travaux forcés. En ce qui concerne le blanchiment des capitaux à charge de Samih Jammal, le condamne pour la première à une amande de 20 millions de dollars américains et pour la seconde à 12 années de servitude pénale et une amande de 20 millions de dollars américains. S’agissant de l’infraction de corruption à charge de Samih Jammal, le tribunal le condamne à 15 années de servitude pénale et d’une amande de un million de francs congolais constant pour un service subsidiaire de six mois, la même peine contre Vital Kamerhe.Par ailleurs, le Tribunal dis que les deux infractions de blanchiment des capitaux commises par le prévenu Samih Jammal les sont en concours idéal. Le tribunal prononce l’unique peine, soit la plus forte de 10 années de servitude pénale et une amande de 20 millions. En revanche, le Tribunal dit que les autres infractions commises par les prévenus sont en concours matériel ; partant cumule les peines à leur encontre, celle de 20 années des travaux forcés ainsi que les peines accessoires notamment :*Interdiction pour dix ans après l’exécution de la peine, du droit de vote et du droit d’éligibilité en ce qui concerne le prévenu Vital Kamerhe Lwakanyingini Nkingi ; interdiction d’accès aux fonctions publiques et para-étatiques quel qu’en soit l’échelon à charge du même prévenu ; la privation du droit à la condamnation ou à la libération conditionnelle et à la réhabilitation à charge de Samy Jammal et Vital Kamerhe ; l’expulsion définitive du territoire national après l’exécution de la peine à charge du prévenu Samih Jammal. Par conséquent, le Tribunal ordonne :La confiscation des fonds contenus dans les comptes de Madame Kamerhe dit Amida Shatur, sa belle fille Soraya Mpiana et Nshangalume Nkingi Daniel ainsi que leurs propriétés immobilières acquises avec les fonds détournés et qui sont couverts par les titres immobiliers. Le tribunal a ordonné l’arrestation immédiate du prévenu Jeannot Muhima Ndoole, en fuite. Le Tribunal dans son prononcé dit recevoir et déclare fondée l’action civile. Par voie de conséquence, il condamne les prévenus in solidum à payer à la partie civile, c’est à dire la République Démocratique du Congo, la somme de l’équivalent en Francs congolais 150 millions de dollars américains de dommages-intérêts. Le Tribunal dit recevoir, mais déclare non fondée la demande reconventionnelle du prévenu, Samih Jammal.Par conséquent, le Tribunal condame chacun des prévenus à payer le 1/3 des frais d’instance payable dans le délai légal, à défaut Samih Jammal et Vital Kamerhe subiront une contrainte par corps de 30 jours. Robert Bolongo

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Procès 100 jours : Communiqué de presse du collectif des avocats de Vital Kamerhe.

Communiqué de presse Procès des 100 jours Verdict du 20 juin 2020. Sans surprise, Vital Kamerhe a été condamné par le tribunal de Kinshasa à 20 années de travaux forcés, outre des peines accessoires, dont l’interdiction d’accéder à tout mandat public, pendant les 10 années qui suivront la fin de sa peine de privation de liberté. Donc 30 ans d’exclusion de la vie politique du pays. Telle était l’issue fatale obligée, d’une procédure expéditive diffusée en direct à la télévision, sans que jamais ni lui, ni ses avocats, n’aient pu ni consulter le dossier, et à fortiori ni discuter les éléments de preuves rassemblés contre lui. On remarquera que la condamnation ne se fonde sur aucune pièce (instructions écrites données,ou flux bancaires exécutés) et se contredit en soutenant qu’il aurait pu détourner de l’argent public alors qu’il n’était ni ordonateur, ni comptable de la dépense publique. Un tel simulacre de procès n’est pas admissible dans le cadre d’un grand pays tel que la RDC. C’est pourquoi Vital Kamerhe exercera toutes les voies de recours possibles : au Congo RDC, en Afrique, et devant les Nations Unies qu’il a d’ores et déjà saisies – car il a confiance : au sursaut de conscience des juges congolais d’appel, au recours des juridictions internationales africaines, et au contrôle de la communauté juridique internationale laquelle dépêchera des observateurs lors des suites de ce premier procès caricatural. Par ailleurs il s’en remet à l’opinion publique – à la population congolaise, aux hommes et aux femmes qui le soutiennent et à qui il jure son innocence – pour qu’elle dénonce un tel détournement de la justice a des fins politiques d’exclusion pure et simple des élections à venir… pendant les 30 prochaines années de la vie démocratique de la RDC. Enfin, au milieu du gué, de cette procédure dramatique, il a une pensée pour le juge décédé au cours de l’audience dont les causes de la mort sont aussi contradictoires qu’incompréhensibles, ainsi qu’il résulte de la présentation qui en est faite par les autorités congolaises elles-mêmes. Bâtonnier Pierre-Olivier Sur,au côté du collectif des avocats congolais de Vital Kamerhe.

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Dossier Kamerhe et consorts : le Juge Funga Molima Mwata recadre le Greffier de la Cour Constitutionnelle

L’amalgame créé par le Greffe de la Cour Constitutionnelle ne cesse de susciter débat dans l’opinion publique nationale. La demande de transmission du dossier judiciaire sous RP 26.931 au greffe de la Cour Constitutionnelle a laissé tout juriste et pratiquant de droit dans une inquiétude judiciaire qui sous entend une autre jurisprudence, alors que l’affaire dont il est question est prise en délibéré devant le Tribunal de Grande Instance Kinsanda-Gombe. Dans un courrier parvenu à la rédaction, référencier 210CC/CAB-PRES 06/2020, du 19 juin 2020 le Juge Funga Molima Mwata Evariste Prince recadre François AUNDJA-ISIA BOSOLO et Lucie BALUTI MONDOrespectivement Secrétaire général de la Cour Constitutionnelle et Greffier Principal Directeur.Surprise par la demande de transmission du dossier judiciaire toute affaire cessante, le juge Funga Molima Mwata Evariste Prince se dit fortement surpris par cette initiative du Greffier en Chef, qui ne va pas dans le sens d’une bonne administration de la justice, s’indigne-t-il. Le juge a fait savoir dans son courrier que, dès lors que par son arrêt R. Const 1234 du 17 juin 2020 rendu à la requête du Président de l’Assemblée provinciale du Sud-Kivu, la Cour des cours a répondu à toutes les questions soulevées devant le Tribunal par le prévenu Vital Kamerhe au titre de l’exception d’inconstitutionnalité vantée dans le courrier qu’il a saisi la Cour Constitutionnelle. Ceci explique cela que l’affaire cause Vital Kamerhe, Samih Jammal, Janot Muhima est déjà prise en délibérée depuis le 11 juin courant.Le Juge Funga qui s’est indigné de la démarche du greffe de sa Cour, enjoins par conséquent le Greffier divisionnaire du Tribunal de Grande Instance Kinsanda-Gombe à ne pas donner suite à la demande du Greffe de la Cour des cours. Par la même occasion, il déplore le fait qu’il n’avait pas été réservé copie, quant à ce. À en croire par ailleurs les praticiens et autres professionnels des questions judiciaires, dès lors que l’exception d’inconstitutionnalité avait été soulevée, le juge suspendrait la suite de la plaidoirie, puis saisir immédiatement la Cour suivant l’article 162 de la Constitution. Donc, l’action de la partie accusée par laquelle le Greffe de la Cour Constitutionnelle demandait la transmission du dossier judiciaire, est une faute lourde qui nécessite une action disciplinaire administrative. Pius Romain Rolland

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Probable verdict sur Kamerhe et consorts: un nuage sombre à Makala

À moins de 24 heures du verdict de l’affaire Partie civile (République Démocratique du Congo) et le Ministère Public Vs les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et consorts nous livrons les éléments judiciaires objectifs constitutifs de l’intime conviction des Juges : En effet, l’affaire sus-indiquée est prise en délibéré par 3 juges du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe sous la direction du Juge Président Pierrot Bakenge Mvita. Le samedi 20 juin prochain le prévenus Vital Kamerhe Lwa Kanyinginyi Nkingi sera certainement condamné en 1ère Instance et l’administration de la justice de la République Démocratique du Congo lui donne l’opportunité de faire appel 2 fois. Il pourra à cet effet durant les 20 prochaines années de sa vie faire appel au niveau de la Cour d’appel de Kinshasa Gombe susceptible aussi de faire un appel puisqu’on est au niveau du Tribunal de Grande Instance. Après cela, s’il ne sera pas satisfait de cette décision là, il pourra encore saisir la Cour de Cassation qui décidera définitivement de son sort en dernière instance dans une procédure judiciaire qui pourra s’étendre durant les 20 prochaines années ! Selon le Code de procédure pénale de la République Démocratique du Congo le Juge dispose du pouvoir souverain d’appréciation des faits qui sont reprochés aux prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et consorts. Il pourra notamment confirmer, annuler partiellement ou totalement les précitées charges d’une part et d’autre part, modifier ou ajouter d’autres charges, et ce selon son intime conviction ! L’intime conviction des 3 Juges va être construite sur la base des 50 questions suivantes : I. Au sujet de la recevabilité des poursuites des prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et consorts par-devant le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe : Le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe dispose-t-il de la compétence territoriale nécessaire pour connaitre de l’affaire du détournement des fonds publics qui étaient destinés au financement des travaux des 100 jours du Chef de l’État par les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et consorts ? Réponse : OUI. Le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa Gombe dispose-t-il de la compétence matérielle nécessaire pour connaitre de l’affaire du détournement des fonds publics qui étaient destinés au financement des travaux d’urgence des 100 jours du Chef de l’État ? Réponse : OUI. Le juge peut-il refuser de transmettre les questions prioritaires de constitutionnalité présentant un caractère manifestement dilatoire notamment l’exception qui a été soulevée par les avocats du prévenu Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi au sujet de sa condamnation à 20 années de servitude pénale et aux travaux forcés (voy., Art. 145 CP, la confusion entre la peine des travaux forcés prononcée par un juge et les travaux forcés extrajudiciaires)? Réponse : OUI. Le Parquet de Kinshasa Gombe était-il obligé de recommencer ou de compléter l’instruction préjuridictionnelle menée par le Parquet de Kinshasa Matété? Réponse : Oui II. Sur le fond : Existe-t-il une relation d’affaire étroite entre les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et son comparse le libanais grabataire Samih Jammal avant sa nomination au poste de Directeur de cabinet du Président de la République Démocratique du Congo ? Réponse : OUI la relation d’affaire qui lie les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et le libanais grabataire Jammal Samih à été tissée par son cousin Daniel Shangalume Nkingi alias Massaro » depuis très longtemps. À l’issue de la proclamation des résultats définitifs de l’élection Présidentielle par la Cour Constitutionnelle de la République Démocratique du Congo, le prévenu Vital Kamerhe LwaKanyinginyiKingi Kingi avait-il l’assurance de contrôler le gouvernement ? Réponse : OUI c’est ce que matériellement tous les anciens Ministres qu’il avait cités à comparaître avaient confirmer sous les sceaux du serment ! Le libanais grabataire Jammal Samih avait-il offert des cadeaux aux proches du prévenu Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi avant la cérémonie d’investiture du Président Félix Antoine Tshisekedi afin de s’assurer de ce que le marché de gré à gré relatif à la construction de 900 logements sociaux préfabriqués pour une valeur totale de 26 millions US conclu en 2018 entre sa société SAMIBO avec le Ministère du Développement rural qui était sous gestion de Justin Bitakwira sera finalisé par le nouveau pouvoir ? Réponse : OUI. En l’absence d’un nouveau gouvernement, le prévenu Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi avait-il accepté le poste de Directeur de cabinet du Président de la République Démocratique du Congo afín de piloter notamment le programme de 100 jours du Chef de l’Etat ? Réponse : OUI. Le prévenu Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi avait-il fermer les yeux sur les irrégularités contenues dans les dossiers administratifs, et l’absence des capacités financières propre des sociétés SAMIBO et d’Husmal appartenant au libanais grabataire Jammal Samih ? Réponse : OUI. Les societés du libanais grabataire Jammal Samih disposaient-elles des fonds propres à hauteur de 30% du montant des contrats nécessaires pour préfinancer les travaux des maisons préfabriquées comme l’exige la loi sur les Marchés publics de la République Démocratique du Congo ? Réponse : NON Les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi et son cousin Shangalume Nkingi alias Daniel Massaro et le libanais grabataire Jammal Samih avaient-ils tenus plusieurs réunions à la Présidence de la République Démocratique du Congo ? Réponse : OUI. Les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi, son cousin Shangalume Nkingi alias Daniel Massaro et le libanais grabataire Jammal Samih ont-ils tenus plusieurs réunions à la résidence privée de Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi ? Réponse : OUI. Les prévenus Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi avait-il donné à son cousin Shangalume Nkingi alias Daniel Massaro les données d’identité de sa belle-fille Soraya Mpiana à l’insu de celle-ci ? Réponse : OUI. Le prévenu Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi a-t-il dit la vérité concernant l’origine de ses biens et avoirs bancaires en République Démocratique du Congo et à l’étranger ? Réponse : NON. Madame Amida Mwangaza Shatur épouse Vital Kamerhe Lwa Kanyinginyi Nkingi a-t-elle dit la vérité concernant l’origine de ses biens et avoirs bancaires en République Démocratique du Congo et à l’étranger ? Réponse : NON Le cousin du prévenu Vital Kamerhe Luakanyingiyingi Kingi

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