Université Chrétienne Catholique

À l’UCC, Guy Loando Mboyo partage l’expérience de son parcours académique avec les étudiants

Le Ministre d’État en charge de l’aménagement du territoire maître Guy Loando Mboyo a pris part mercredi 13 juillet 2024 à la conférence organisée à l’occasion de la 58 ème journée mondiale des communications sociales à l’université catholique du Congo ( UCC), à Kinshasa. Une journée placée sous le thème : Intelligence Artificielle et Sagesse du Cœur : « Pour une Communication Pleinement Humaine » Le patron de l’aménagement du territoire a donc partagé avec les jeunes étudiants, l’histoire de son parcours estudiantine, question de les encourager à avoir toujours les yeux fixés vers leurs objectifs. il a captivé l’auditoire avec des récits inspirants de sa carrière et de ses réalisations. Il a aussi souligné l’importance de la persévérance, de l’éthique, du travail et de l’engagement envers la communauté. Un discours bien accueilli par ces jeunes pleins d’avenir, visiblement déterminés à marcher sur les pas du numéro 1 de l’aménagement du territoire de la République Démocratique du Congo. Germain Coucou Diantama

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UCC : Matinée scientifique sur les droits des femmes organisée ce vendredi, 19 avril dans la Faculté des Communications Sociales

À l’occasion de la clôture du mois de la femme, la Faculté des Communications Sociales de l’Université Catholique du Congo (UCC en sigle) a organisé ce vendredi, 19 avril une matinée scientifique sur les droits des femmes. C’est sur le site de Mont-Ngafula de ladite université que trois intervenants qui ont développé des sujets liés aux droits des femmes, telles que : la place de la femme dans la gestion de la chose publique avec la Révérende Soeur Catherine Mitembe (Docteur en Communications Sociales), le professeur Abbé Paul Nzinga (Doyen de la faculté des Communications Sociales) et Madame Fridia Assani (CEO de la fondation FOFAN). Le professeur Paul Nzinga, en tant que premier intervenant, expose son discours à travers la date « historique » du 1er avril 2024 qui marque la nomination de la première ministre Judith Suminwa Tuluka. À cet effet, le professeur Nzinga se pose cette question : Qui a été le tout premier ministre de l’histoire de l’humanité ? La réponse à cette question se retrouve, d’après lui, dans l’interdisciplinarité des Sciences de l’Information et de la Communication qui, pour atteindre leurs objectifs, recours à plusieurs disciplines scientifiques, elles que l’histoire, afin de préciser les contours épistémologico-historique du concept, genre appliquer à la politique à la parité politique. Il ajoute que quand on fait une approche historique du genre, la contribution de l’Afrique est souvent sous-estimée, voire ignorée. C’est principalement les occidentaux que les Africains apprennent l’origine de ce concept. Il confirme que le poste de premier ministre était réservé aux femmes. Il conclut ses propos en ce terme : « La nomination de la première ministre, Judith Suminwa ne fais que rendre justice à la réalité historique ». Outre l’intervention du professeur Abbé Nzinga, la Révérende Sœur Catherine Mitembe explique qu’en République Démocratique du Congo, les femmes représentent environ 52% de la population. Cependant, elles n’ont pas suffisamment aidé impliqué dans les activités de la chose publique. Selon elle, pour que la femme mérite une place qui lui revient dans la gestion de la chose publique, et la destruction des stéréotypes serra un facteurs à considérer, car, avant l’homme avait le monopole de la parole, le pouvoir de prendre des décisions. Elle précise que les stéréotypes ont des aspects réducteur, et c’est là, peu importe qu’elles soient positive ou négative. C’est pourquoi la femme possède toujours une place inférieure. La Révérende Sœur Mitembe met fin à son allocution en déclarant que la femme est plutôt appelée à prendre conscience qu’elle est porteuse du développement, à désactiver les liens entre les stéréotypes et le comportement provoquée par ses opinions toute faite et enfin, à participer aux activités de la gestion de la chose publique grâce à la bonne volonté. KUBURHANWA BYAMUNGU EVELYNE

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RDC/Politique : Le Recteur de l’Université Catholique du Congo, le Professeur Abbé Léonard Santedi précise le poids historique de l’Eglise dans le pays et son rôle à jouer dans la résolution de la guerre dans la partie Est

Le professeur Abbé Léonard Santedi, Recteur de l’Université Catholique du Congo, a commencé tout d’abord par démontrer l’engagement de l’Eglise aux conditions humaines. Il a du moins ressassé l’histoire pour évoquer les propos du Cardinal Malula qui, à l’époque était encore Monseigneur Malula :  » Il faut une Eglise congolaise, dans un Etat congolais  ». Et la conférence des évêques du Congo(CENCO) a toujours joué son rôle d’accompagnateur du peuple et de contributeur pour la construction de la nation, faisant partie intégrante de sa mission d’évangélisation. Renchérit t-il. À ceci s’ajoutent, les domaines auxquels l’Eglise s’est investie pour le bien-être de la population. Il s’agit de l’éducation, aussi du social par son réseau de caritas développement, et, aussi le domaine de la justice et de la paix avec sa contribution pour l’effectivité d’un Etat de droit. Au micro des journalistes de RFI, le Professeur Abbé Santedi, Recteur de l’Université du Congo et membre de la CENCO, a évoqué l’apport de l’Eglise dans la résolution de la paix au niveau national, et régional, réunissant le Congo, le Rwanda et le Burundi, puis faire un plaidoyer de paix au niveau des gouvernants, mais aussi faire entendre la voix au niveau de la communauté internationale. Propos recueillis par les journalistes de Radio France International (RFI). Osée KADIMA

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