politique

Cerveau de la politique étrangère du chef de l’Etat, qui est le professeur Serge TSHIBANGU KABEYA?  

Tête pensante, Serge Tshibangu Kabeya est avant tout congolais de père et de mère avant de devenir professeur des Universités où il  dispense les cours dans les grandes institutions d’enseignement du monde. Son cursus est riche et saturé de diplômes dans plusieurs domaines de la vie. Mais la diplomatie et la sécurité sont ses domaines de prédilection ; son point fort où il nage comme un poisson dans l’eau. Son expertise en matière des relations internationales et de la politique étrangères a séduit le Président de la république, Félix Tshisekedi jusqu’à l’a confié des grandes missions d’Etat. Le savoir ne ment pas dit-on. C’est depuis janvier 2023 que le professeur Tshibangu est nommé au poste de Haut-représentant du chef de l’Etat congolais pour le suivi de la Feuille de route de l’accord de Luanda et  de Nairobi. Ces attributions consistent à s’occuper de la politique étrangère et des affaires de sécurité du président de la République. Il siège au Conseil Supérieur de la Défense qui constitue la structure politique  et militaire de défense et qui est présidé par le Commandant Suprême des Forces armées de la RDC  et de la Police nationale congolaise. Serge Tshibangu est aussi envoyé spécial de Félix Tshisekedi auprès de ses homologues.  Il est chargé des processus de paix régionaux, concernant les accords de Luanda et de Nairobi qui consiste  en des consultations politiques avec les groupes armés locaux afin de les amener à déposer les armes et se démobiliser. Toujours rationnelle, cette grande personnalité possède un grand carnet d’adresse bien garnie. Il a toujours disposé son aura et surtout son cerveau au service du chef pour des solutions rationnelles dans l’intérêt de la République Démocratique du Congo, pays de ses ancêtres.   Passionné de diplomatie et fin négociateur, Serge Tshibangu est de nature humble, discret mais déterminé dans sa mission et responsabilité. Il a toujours servi la nation avec équité et un sens élevé du patriotisme.   De nombreux observateurs avertis témoignent que les jeunes congolais le considèrent comme leur modèle. Car, ce professeur de l’université a toujours une vision de promouvoir et d’encadrer la jeunesse de son pays pour assurer une relève rationnelle au service de la nation. «Ce pays mérite d’être représenté par ses dignes fils qui seront à tout moment capables de faire mieux pour le bonheur de tous.  Nous voulons toujours travailler avec justice, amour et probité afin de laisser des bonnes traces qui vont servir d’exemple auprès des jeunes qui prendront nos places dans les jours avenirs », dixit Serge Tshibangu, le cerveau du chef. De l’Etat. Et d’ajouter : «Notre jeunesse doit avoir des bonnes instructions pour reconstruire un Congo meilleur et performant. Les congolais doivent avoir les meilleures pensées positives dans les cerveaux à l’égard de leurs dirigeants pour qu’ils puissent diriger dans la vérité et les actes d’un pays démocratique». Une intelligence grise au service de l’Etat Détenteur d’un Doctorat  (PhD)  et d’un  Master en  Enginneering de Wits University en Afrique du Sud, le Professeur  Serge Tshibangu a une spécialisation en Droit du Commerce International  de l’Université  de Berne en Suisse ainsi qu’une autre spécialisation en Stratégie de Sécurité Nationale de la nationale Defense  University aux USA. Il est également lauréat de la 3ème promotion de la Session Spéciale du Collège des Hautes Stratégies et de Défense (CHESD) en RDC. L’envoyé spécial du chef de l’Etat congolais est aussi professeur visiteur aux Universités  Georges Washington  et à  University of Pennsylvania aux Etats-Unis ainsi que dans des universités sud-africaines. Paterne MBOYO 

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AREP: les femmes disent non aux violences !

Cette rencontre a été placée sous le thème : « Les femmes d’Arep disent non aux violences ». La participation de plus de 500 femmes issues des différentes circonscriptions de Kinshasa a marqué ainsi un moment historique de solidarité et de sensibilisation. La présidente de la ligue des femmes, Mme Martine BEBALI, a orchestré cette impressionnante rencontre qui a été rehaussée par la présence notable de l’initiateur du parti, Me Guy LOANDO MBOYO, le Président par intérim Pascal NKANGA et le secrétaire général Me Camy Richard KALELE. Conformément à la thématique, cette rencontre a été une occasion pour mettre un accent particulier sur les défis et les violences que subissent les femmes, en particulier dans les régions de l’Est du pays, victimes de l’agression des groupes armés. Les femmes d’AREP ont appelés les autorités de mettre en lumière la nécessité urgente d’une action collective pour mettre fin à ces atrocités. Guy LOANDO responsabilise les femmes… Maitre Guy LOANDO MBOYO, Autorité de référence du Parti AREP Dans son discours, Me Guy Loando a exhorté les femmes à prendre en main la conscientisation au sein des foyers, soulignant l’importance de l’éducation et de la sensibilisation pour combattre l’injustice et promouvoir une société plus équitable. « Je vous demande de vous lever, d’éduquer nos enfants, et de conscientiser vos maris sur la nécessité de rejeter l’ennemi sous toutes ses formes », a-t-il déclaré, encourageant les femmes à être des actrices de changement dans leurs communautés. Cet événement intervient dans un contexte où le Président Félix Antoine TSHISEKEDI a mis un point d’honneur sur l’instauration de l’égalité des sexes comme une priorité nationale, réaffirmant son engagement envers la promotion des femmes dans tous les secteurs de la vie publique et professionnelle. La Ligue des Femmes d’AREP, par cet événement marquant, a non seulement célébré les réalisations des femmes mais a également posé les fondements pour de futures initiatives visant à renforcer leur rôle et leur influence dans la société congolaise. LE LIBERAL

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Pollution rivières Kasaï et Tshikapa : « Deux délégations ministérielles se rendront en début de semaine prochaine en Angola et au Kasaï » (Patrick Muyaya)

Les critiques formulées à l’issue du périple du premier ministre Sama Lukonde, samedi 21 août à Bunia, sont arrivées à bon port. Le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya a fixé l’opinion sur l’importance de ce voyage ministériel. Le ministre de la communication et médias, a, à cet effet, répondu à la réaction d’une internaute identifiée sur Twitter sous le nom de « Sharufa. Cette dernière estime que les membres du gouvernement devraient plutôt se rendre au Kasaï où il y a des dégâts et de vies qui en pâtissent. « La mission d’évaluation de l’état de siège en Ituri et au Nord-Kivu pouvait attendre » clame-t-elle. « Pour le gouvernement chaque vie compte » a aussitôt réagi Patrick Muayaya sur Twitter avant d’annoncer « Sur la pollution, 2 délégations ministérielles se rendront en début semaine prochaine en Angola et au Kasaï. » Le ministre de la communication ne s’est pas arrêté à mi-chemin, pour lui, « aller au chevet des militaires blessés au front ou suivre la situation de plus d’un million de déplacés ne peut se faire virtuellement. » Signalons que, la sénatrice, Francine Muyumba a, elle aussi remis en cause cette mission d’évaluation de l’état de siège, de soutien de la population et d’appui aux Forces Armées congolaises. Miguel Mpiutu

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État de siège : Francine Muyumba s’en prend à Sama Lukonde après son arrivée à Bunia

L’arrivée du premier ministre Sama Lukonde à Bunia dans la province de l’Ituri, en mission d’évaluation, de soutien de la population et d’appui aux Forces Armées de la République ne fait pas l’unanimité dans le paysage politique congolais. La sénatrice Francine Muyumba s’en est pris au chef du gouvernement, ce samedi 21 août. L’ancienne présidente de l’Union Panafricaine de la Jeunesse (UPJ), a laissé entendre que les missions du chef de l’exécutif sont inégalement réparties. « Il n’est pas normal que les missions des membres du gouvernement soient inégalement réparties sur l’étendue de la République » a aussitôt tweeté Muyumba. Puis d’ajouter par la suite : « N’y a-t-il pas de problèmes à Mbuji-Mayi, à Gemena ou à Kenge?Il est temps d’accorder l’attention à tous les coins et recoins du territoire national. » À la suite de la prorogation de l’état d’urgence pour la cinquième fois de suite, le 4 août, la sénatrice a révélé via twitter que ce vote par oui, était son tout dernier. « J’ai voté oui pour la dernière fois à la prorogation de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord Kivu. Il nous faut une évaluation rigoureuse de l’état des choses avant une quelconque autre prorogation » a-t-elle fait savoir. Miguel Mpiutu

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Pollution des rivières Kasai et Tshikapa : Treize de dix-huit zones de santés kasaiennnes touchées (Conseil des Ministres)

Près d’une semaine après que le Président de la République a invité le gouvernement à prendre des mesures urgentes pour sécuriser les populations riveraines de Kasai et Tshikapa, les dégâts causés par cette substance toxique sont énormes. Prenant la parole durant le conseil de ministre de vendredi 20 août, le ministre de la santé publique, Jean-Jacques Mbungani a renseigné que 13 de 18 zones de santés au Kasai ont été touchées par cette pollution avec 968 93u habitants exposés. « Dans ce cas, la sensibilisation s’intensifie pour inviter la population locale et les pêcheurs à s’abstenir de la consommation de l’eau polluée ainsi que des poissons et d’autres animaux aquatiques morts » lit-on dans le compte-rendu de la 16 ème conférence des ministres. Les populations en danger Plus de 400 personnes présentent des cas de diarrhée à la suite de la pollution de rivières Tshikapa et Kasaï, a révélé mardi 17 août le vice-premier ministre en charge de l’Environnement, Mme Eve Bazaiba. Des échantillons ont été prélevés au moins deux fois et après analyse, selon elle, les premiers éléments montrent clairement qu’il s’agit des substances qui ont contaminé les eaux et qui en absorbent l’oxygène.   Miguel Mpiutu

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Drogue « Bombé »: Félix Tshisekedi ivite le gouvernement à prendre en charge et à encadrer des jeunes victimes de ces substances toxiques

La consommation à outrance de la drogue « Bombé » dans la ville de Kinshasa était à inscritd à l’ordre du jour de la 16 ème réunion du conseil de ministres présidée, vendredi 21 août par le président Tshisekedi. Le chef de l’État a attiré la l’attention de son gouvernement sur la prise de ce produit toxique par les jeunes Kinois. Dans sa peau de père de la Nation, Félix Antoine Tshisekedi a invité les ministères sectoriels à trouver des solutions idoines quant à la prise en charge des consommateurs de cette drogue. Le même phénomène s’observe aussi au Nord-Kivu, où la gente juvénile se livre à la consommation d’une autre substance toxique baptisée « Muvoke ». Constituée à base d’un mélange des résidus provenant de tuyaux d’échappement, de chanvre, fond de teint et d’autres composantes, cette drogue fait dormir « debout », après sa prise. Miguel Mpiutu

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Loi Tshani: Moise Katumbi menace de quitter la majorité si cette loi « ne serait-ce que programmée pour être débattue au Parlement »

Officiellement membre de l’Union Sacrée pour la Nation, Moïse Katumbi Chapwe trace déjà son avenir et celui de son parti politique. La loi Tshani demeure une raison imminente qui causerait son départ de cette plateforme politique initiée par le président Tshisekedi. Dans une interview exclusive accordée à nos confrères de Jeuneafrique, vendredi 20 août, l’ancien gouverneur du Katanga menace a laissé entendre qu’il n’est pas le seul congolais à avoir un parent étranger. « Des Moïse Katumbi , il y en a des millions en RDC ! Quelle famille ici n’a pas un parent, un cousin, un fils ou une fille, une nièce ou un neveu qui n’est pas congolais d’origine ? Nous partageons neuf frontières avec nos voisins, ce qui est un cas unique en Afrique. Chaque année, des milliers de mariages mixtes sont célébrés. » A-t-il fait remarquer. Une loi raciste Pour le leader d’Ensemble, ce projet de loi porté par le député Nsingi Pululu n’a qu’un seul nom « Le racisme ». Par conséquent, si une telle loi venait à s’appliquer, l’homme de Kashobwe menace de quitter l’Union Sacrée. « Il s’agit clairement d’une ligne rouge. Si elle venait à être ne serait-ce que programmée pour être débattue au Parlement, nous quitterions la majorité. » Annonce-t-il. La proposition de Loi Tshani consiste à verrouiller la magistrature suprême. Seuls les congolais de père et de mère pourront accéder à la présidence de la République selon l’esprit de ce projet de loi. Miguel Mpiutu

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Moïse Katumbi sur ses relations avec Joseph Kabila : « On ne s’est jamais reparlé depuis que j’ai quitté la majorité, en 2015 »

Autrefois le gouverneur le plus important sous Joseph Kabila, Moïse Katumbi n’entretient malheureusement plus de relations amicales avec l’ancien chef d’État congolais. Lors d’une interview avec Jeuneafrique, le président d’Ensemble pour la République est sorti de silence puis a révélé qu’il n’a jamais eu des couacs avec le prédécesseur de Félix Tshisekedi. « Entre Kabila et moi, il n’y a jamais eu de problème. C’était avec son entourage que cela coinçait. Il se passe la même chose au sein de l’Union sacrée. Il y a des gens qui pensent que, quand vous êtes proche de quelqu’un, c’est pour prendre son poste. Moi je ne suis pas un demandeur d’emploi ». Ses relations avec Joseph Kabila Le chairman, comme ses proches l’ont surnommé n’a plus reparlé avec son ancien camarde du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD). « On ne s’est jamais reparlé depuis que j’ai quitté la majorité, en 2015. Mais si un jour le besoin s’en fait sentir, je chercherai son numéro et je l’appellerai » Dit-il. Il sied de rappeler qu’après avoir quitté l’ancien parti au pouvoir, Moïse Katumbi a passé 4 bonnes années en exile. L’homme d’affaire était poursuivi et condamné à 3 ans de prison en juin 2016 par le tribunal de paix de Lubumbashi dans une affaire de spoliation immobilière. C’est en avril 2019 que la Cour de cassation a annulé cette condamnation. La même année, il a de nouveau foulé ses pieds en RDC. Miguel Mpiutu

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Moïse Katumbi: « On m’a proposé le poste du premier ministre, mais j’ai refusé »

Près de 5 mois depuis la tenue de consultations nationales initiées par Félix Tshisekedi devant aboutir à la formation du gouvernement Sama, Moïse Katumbi ôte la voile et dévoile qu’il lui a été proposé le poste du « premier ministre ». Ayant pris part à ces assises tenues à la cité de l’OUA pendant plus de 2 semaines, le leader d’Ensemble pour la République s’est confié auprès de nos confrères de Jeuneafrique. Il a dit tout haut ce qui disait tout bas. Interrogé si avec cinq ministres étiquetés « Ensemble pour la République », s’estime-t-il avoir obtenu sa juste part lors de la formation du gouvernement ? « Nous aurions dû avoir un minimum de douze ministres et viceministres » révèle Katumbi avant de préciser qu’en dépit de cela, il a estimé, contre l’avis de la majorité de ses députés, qu’il était de notre devoir de ne pas bloquer la machine en retardant davantage la mise en place du gouvernement. « Moi-même, on m’a proposé le poste de Premier ministre, mais j’ai décliné » a-t-il laissé entendre pour confirmer les rumeurs selon lesquelles il lui a été proposé de conduire le gouvernement de l’Union Sacrée de la Nation (USN). Miguel Mpiutu

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100 jours du Gouvernement Sama: « La RDC est un pays à terre, où tout est à refaire. Il faut donner du temps à ce gouvernement » (Moïse Katumbi)

Le gouvernement Sama Lukonde a célébré, le 4 août dernier, les 100 premiers jours aux commandes depuis son investiture. Ainsi, Moïse Katumbi, membre de l’Union Sacrée pour la Nation (USN) a émis son avis sur le bilan de l’exécutif de cette plateforme politique. Au cours d’une interview exclusive avec Jeuneafrique, publié ce vendredi 20 août, le président d’Ensemble pour la République a laissé entendre que dresser un bilan après les 100 premiers jours n’a pas de sens. « Parler des cent jours n’a, selon moi, n’a aucun sens. C’est un concept essentiellement médiatique. La RDC est un pays à terre, où tout est à refaire » a-t-il fait savoir. Et d’ajouter: « Il faut donner du temps à ce gouvernement. Nous ferons le bilan au bout d’un an ou deux ». Evolution de l’USN Pour l’ancien gouverneur de l’ex province du Katanga, pour ce qui est de l’Union sacrée en elle-même, il leur manque pour l’instant un cadre de concertation collectif. « Nous n’avons d’ailleurs eu aucune réunion qui nous aurait permis de jauger l’efficacité de notre action » a-t-il renchéri. Miguel Mpiutu

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